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Effet stroboscopique - ombre portée des éoliennes

 

Il n’y a pas véritablement d’effet stroboscopique (qui correspond à une fréquence plus rapide que la rotation des pales d'une éolienne) mais potentiellement une alternance d’ombre et de lumière liée au passage des pales devant le soleil en début ou en fin de journée, à certaines saisons et dans des conditions météorologiques particulières.

 

Extrait du rapport de l’Académie nationale de médecine sur les « Nuisances sanitaires des éoliennes terrestres »

Le rôle négatif des facteurs visuels ne tient pas à une stimulation stroboscopique. Si celle-ci peut certes provoquer à certaines heures de la journée et dans certaines conditions une gêne assimilée par les plaignants à « une alternance d’éclairage et de pénombre » dans leurs lieux d’habitation, le risque d’épilepsie dite photosensible, lié aux « ombres mouvantes» (shadow flickers), ne peut être raisonnablement retenu car l’effet stroboscopique de la lumière « hachée » par la rotation des pales nécessite des conditions météorologiques et horaires exceptionnellement réunies et aucun cas d’épilepsie n’est avéré à ce jour. De même le rythme de clignotement des feux de signalisation est-il nettement situé au-dessous du seuil épileptogène.

Nous anticiperons au maximum ce genre de problème au moment de définir l’implantation des éoliennes, en prenant en charge l’implantation de haies par exemple, ou en envisageant un bridage aux moments critiques. En tout état de cause nous nous engageons à être réactifs si une telle gêne devait advenir. C’est là tout le sens d’un projet citoyen.

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